favorite_border
      Shochu de riz complet "MEIJIHATOUKA" 35%
      Shochu de riz complet "MEIJIHATOUKA" 35%
      Shochu de riz complet "MEIJIHATOUKA" 35%

      Shochu de riz complet "MEIJIHATOUKA" 35%

      Ref: NISYMT1

      54,00 €
      TTC

      Un shochu produit selon les méthodes d’origine datant de près de cinq siècles !

      Sa fabrication était consignée dans des archives datant de l'époque Meiji qui ont été retrouvées et récupérées par notre artisan Yamatoichi.

      La distillerie a réalisé ce shochu en reproduisant le processus de distillation à l’alambic Kabuto qui s'est poursuivi de l'époque Muromachi (1336-1573) à l'époque Meiji (1868-1912). La méthode de distillation dite kabuto-gama a été développée dès le début de la période Muromachi, milieu du 14ème siècle, et ce jusqu’à la fin du 19ème siècle. Cet ancêtre de l’alambic tient son nom du kabuto, un casque de guerrier. En effet, la forme du plateau de refroidissement ressemble à un casque renversé sur le kama (bouilloire). Un tuyau envoie de la vapeur au fond de l'alambic. Le moromi, ici du riz complet fermenté, de variété ancienne mizuhochikara, est conservé à l'intérieur (ce moromi est formé du premier shikomi et du second shikomi sont fermentés ensemble pendant 45 jours en hiver et 25 jours en été avant leur distillation).

      Quantité:
      Plus que quelques pièces en stock

      La vapeur s'élève à travers la bouilloire qui contient le moromi et qui est recouvert d'une coiffe (en forme de tonneau) en bois de cèdre. La vapeur s'élève à travers ce tonneau de cèdre japonais, ce qui contribue à ajouter des arômes au shochu.

      Le plateau d'eau de refroidissement situé sur le dessus de la coiffe de bois refroidit la vapeur. Le plateau en forme de cône et pointe vers le bas (tel le casque guerrier kabuto), recueille à son extrémité le shochu. Le shochu distillé est recueilli à l'extrémité du plateau et s'écoule par un tuyau. Ce shochu est un grand cru, rare, est est beaucoup plus complexe à fabriquer qu’un shochu tclassique. Il est remarquable de par sa richesse aromatique, aux accents très fruités, très sucrés (bonbon), sur des relents torréfiés de mochi et de marron grillé.

      La bouche est riche, très ronde, sur des notes de céréales, des touches torréfiées, de la douceur tel un bon genmaicha, une pointe lactique, un umami riche Nous recommandons sa dégustation à chaud, 50°C, ou on the rocks ou coupé avec un peu d’eau fraîche, en dégustations de fromages à pâte persillée (Bleu, Roquefort, Gorgonzola) de civets de gibier, de canard grillé, de bœuf bourguignon…

      NISYMT1

      Fiche technique

      Origine
      Kumamoto, Japon
      Contenance
      720 ml net
      Poids
      72 gr
      Conditionnement
      Flacon en verre
      Ingrédients
      Riz mizuhochikara
      Conservation
      à température ambiante (inférieure à 28°C)
      Volume d'alcool pur
      35%
      Kobo/levure/Kyokai
      kuratsuki kobo
      Bouche
      beaucoup de rondeur, de douceur, de fruité, des accents torréfiés, notes de céréales et de genmaicha, notes lactiques, umami puissant
      Température idéale de dégustation
      Idéalement chaud, à 50°C ou on the rocks, ou coupé avec de l’eau fraîche
      Service
      verre à whisky ou cup à shochu
      Catégorie
      Honkaku (le honkaku, dit shochu authentique, est distillé une seule fois et offre des arômes et notes gustatives très riches)
      Notre conseil
      fromages bleus, gibiers, canard, plats mijotés (bourguignon, gibier)
      Ferments utilisés
      koji jaune (arômes fruités, pour des shochu très aromatiques)
      Distillation
      distillation atmosphérique à l’ancienne dite Kabuto-gama. La méthode traditionnelle de distillation consistant à faire bouillir à pression atmosphérique permet à de nombreux composants du moromi de pénétrer naturellement dans le shochu.
      Maturation
      maturation dans des jarres de terre cuite appelées « kame »
      Type
      kome shochu, affinage long, 3 à 4 ans
      Important
      Distillé à partir de 100 % de riz
      Recommandation
      L'ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTE. A CONSOMMER AVEC MODERATION. LA CONSOMMATION DE BOISSONS ALCOOLISEES PENDANT LA GROSSESSE, MEME EN FAIBLE QUANTITE, PEUT AVOIR DES CONSEQUENCES GRAVES POUR LA SANTE DE L’ENFANT. LA VENTE D'ALCOOL EST INTERDITE AUX MINEURS DE MOINS DE 18 ANS
      Arômes
      très sucrés comme un bonbon, notes torréfiées de mochi et de marron grillé
      Identité Géographique
      Kuma Shochu
      YAMATOICHI SHUZOYAMATOICHI SHUZO

      Petites notes d’histoire : La distillation a commencé en Chine puis s’est étendue à la Corée, la Thaïlande, l’Archipel de Okinawa (a entrainé la production de l’alcool distillé Awamori) et enfin à l’Ile de Kyushu, à commencer par Kagoshima, puis enfin Kumamoto il y a 500 ans, sur une base 100% riz (le shochu de patate douce n’apparait en 1795). La confection d’un shochu 100% à base de riz à Kumamoto tient son origine dans la présence du Clan SAGARA établit dans la région de Hitoyoshi.

      La Préfecture de Kumamoto avait la chance d’avoir des terres excellentes, très fertiles, pour la culture du riz. Le riz était alors considéré comme une denrée précieuse et nécessaire pour nourrir le peuple. Sur l’île de Kyushu, les clans du Nord sous contrôle du Shogun se livraient en permanence bataille contre le clan Shimazu Sud et le riz était une denrée rare et prise de guerre. Le clan Segara (1193-1868), clan de Samouraï (constitué de daimyo ou Gouverneurs issus de classes militaires), originaire de Shizuoka, se déplace en 1193 au cœur de Kumamoto, soit en plein cœur de la zone de conflit. Il met un siècle à prendre le contrôle de Hitoyoshi et de Kumamoto, puis 1 siècle de plus pour prendre le contrôle du nord et du sud de la Préfecture de Kumamoto. Il ne voulait surtout pas montrer que les terres y étaient fertiles et permettaient de cultiver et de récolter du riz de façon abondante.

      Le meilleur moyen de cacher les excédents de riz était de le distiller. De là est né le shochu de riz, réputé le plus précieux. En 1546, le portugais Jorge Alvarez informe la cour du Portugal qu’un alcool distillé de riz existe au Sud du Japon plus au nord de Kagoshima. En 1559, le nom shochu apparait pour la première fois dans les écrits d’un temple de la ville de ISA, nord de la Préfecture de Kagoshima, à la frontière de la Préfecture de Kumamoto. En 1908, l’écrivain Katai Tayama apprend qu’un excellent shochu de riz est distillé à Hitoyoshi et apparait alors le nom de Kuma Shochu.

      On dit alors, dans tout le Japon, qu’il est le meilleur tant il est riche en saveurs et flaveurs, arômes, avec des notes suaves surprenantes. Le shochu, jusqu’au début du vingtième siècle, est alors exclusivement confectionné avec du riz complet « genmai ». Le riz genmai produit moins d’alcool, en fermentation, que le riz débarrassé de sa balle. Le riz poli donne beaucoup plus d’alcool. Ce type de shochu de riz n’est plus produit car le savoir-faire a disparu. Yamatoichi en a retrouvé le secret de fabrication.

      Vous aimerez aussi
              34,00 €
                      Shochu de riz complet "MEIJIHATOUKA" 35%
                      Shochu de riz complet "MEIJIHATOUKA" 35%
                      54,00 €
                      TTC
                      • Traçabilité et origine Authenticité et traçabilité parfaite

                        Traçabilité et origine

                        Authenticité et traçabilité parfaite

                      • Livraison offerte et rapide dès 85€ *

                        Livraison offerte

                        et rapide dès 85€ *

                      • Paiement 100% sécurisé

                        Paiement

                        100% sécurisé

                      • Service client à votre écoute

                        Service client

                        à votre écoute

                      Newsletter

                      Recevez les nouveautés, actualités et offres Nishikidôri par email